VC 1 – Circuit des chapelles

par schilikois

Le Horn © schilikois

Au mois de mars dernier, schilikois et TeamRicou ont enfilé leurs baskets et sont partis à la conquête de cette « vélo-caching » multi-cache concoctée par sainto. Voici le retour de Jo suite à cette aventure.

Après ses fameuses RC, notre Sainto national récidive avec cette petite VC ! Rien à voir avec le trône mais plutôt une balade à vélo à travers les vignes de Wolxheim et le joli canal de la Bruche, le tout parsemé de jolies petites chapelles. Le principe reste le même que les RC, trouver les images indices à chaque waypoint et calculer les coordonnées finales, simple et efficace mais il faut tout de même avoir l’œil !

Avec la Team Ricou nous opterons pour le mode pédestre, on n’aime pas pédaler ! Bon, il nous faudra quand même 4h30 pour en venir à bout ! Mais la balade est vraiment sympa, de jolis villages, une belle vue depuis le fameux “Pain de sucre” de Wolxheim, des sympathiques petites chapelles que l’owner souhaite nous faire découvrir et mon coup de coeur : le canal de la Bruche et ses belles écluses rénovées. 

Une belle balade sans prise de tête que je vous recommande fortement, mais j’avoue qu’une nouvelle petite RC serait la bienvenue !!!

INFO PRATIQUE : GC9WC6Z

La dernière demeure de de Gros-Schlag

Le rocher surplombant la Vallée de la Bruche

J’ai longtemps réfléchi laquelle des caches serait dans le thème pour ce premier jour de novembre, puis je me suis souvenue de cette multi posée par equusmaya et ishkoko.

Ce petit point, orange telle une citrouille, brillait sur ma carte de Geocaching depuis sa parution en 2017. Au mois de septembre dernier, je me suis enfin laissée convaincre d’aller la chercher et je ne l’ai pas regretté. 

Au départ de la gare de Heiligenstein-Mollkirch, une petite grimpette de 2 km vous mènera vers le rocher du Grauschlag. Surplombant la vallée de la Bruche, il offre une belle vue et il cache un trésor inédit.

Tout comme les précédents, seul l’indice du banc sera trouvé, mais cela suffit (avec un peu de patience) pour accéder au trésor. Et quel trésor! Je ne vous en dirai pas plus, allez voir de vos propres yeux…

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Interview avec Papi67

René est un retraité hyper actif que la communauté du géocaching connait grâce aux nombreuses caches travaillées et inventives qu’il a posé dans la forêt entre Neubourg et Ohlungen. J’ai écouté avec grand plaisir ses histoires et ses anecdotes de géocaching dans son magnifique jardin autour d’un café. Puis il m’a fait découvrir son atelier et fait essayer quelques boîtes en cours de réalisation.

AG : Comment as-tu découvert le géocaching ?

Papi67 : C’est mon fils qui m’a dit un jour : tiens papa, j’ai trouvé quelque chose qui pourrait t’intéresser !

Ah bon ? Je suis venu avec lui et puis je me suis dit que oui, c’était intéressant ! Auparavant, j’allais avec ma femme en forêt et on marchait une demi-heure et puis voilà. Alors que maintenant, on se dit allez il y a encore une cache à 200m et puis encore une et on marche, on marche !

AG : Depuis combien de temps fais-tu du géocaching ?

Papi67 : Depuis novembre 2014 je crois, ah ben ça fait déjà 8 ans dis donc !

Et puis j’en suis venu à la conception des caches. Mon fils m’a dit au bout de quelques temps : papa, je voudrais bien poser des caches, est ce que tu veux t’en occuper ? Mais je lui ai dit, moi les tubes cachés au pied d’un arbre sous un caillou, ça ne m’intéresse pas. Je veux faire des caches qui me plaisent à moi !

Ma première idée était de raconter les ferrets de la Reine, les 3 mousquetaires, mais c’était un peu compliqué et en définitif j’ai pris les 3 petits cochons ! Puis les Schtroumpfs et après Cendrillon ! C’était des caches faciles, un peu jolies. Ca sort de l’ordinaire mas c’est facile.

Et un jour, je suis tombé sur une cache où je me suis cassé les dents pour l’ouvrir et je me suis dit : tiens il y en a qui font des caches comme ça et moi je fais des caches faciles. J’ai trouvé la combine !

AG : Pour notre plus grand plaisir !

Papi67 : Mon plaisir à moi c’est de voir ton sourire quand tu parles de mes caches et puis surtout les enfants ! Et puis j’aime bien bricoler aussi ! Sur la dernière cache, j’ai déjà passé du temps. Une semaine je dirais, mais ça prend forme !

Mamie : et le soir, tard !

Papi67 : Quand je vois les enfants sourire, je suis content. Alors je me suis dis, tiens je vais faire un Event pour les enfants en les autorisant à emmener leurs parents éventuellement.

Il y avait beaucoup de monde ce jour-là !

AG : Quelles caches t’ont marqué ?

Papi67 : Une super belle dans la Loire. Une œuvre d’art métallique, ça m’a marqué !

La deuxième était aussi dans la Loire, une série de l’Office du Tourisme. C’était un simple petling mais à côté d’une centrale atomique !! Alors que nous cherchions la cache, d’un coup, je vois une voiture de flic qui arrive à toute vitesse !

Ils voyaient un couple qui rodait là et je leur ai expliqué pourquoi. Je ne sais pas si cela les intéressait ! Puis je leur ai demandé s’ils voulaient nous aider parce que je ne l’avais pas trouvée, et ils m’ont répondu : ah ben quand même pas ! Ce n’est pas malin de la part de l’Office de Tourisme d’avoir mis une cache aussi près d’une centrale ! On a failli se retrouver en taule !!

AG : Quelle est la première cache que tu as trouvé ?

Papi67 : C’était le joli banc de Sébastien, un calvaire à Neubourg. L’indice disait que c’était sous les yeux du Christ alors j’ai regardé où il regardait. Bon, c’était la première, elle n’était pas compliquée mais je ne l’ai pas trouvée ! Et puis finalement, elle était dans le panneau directionnel !

Sur le sentier des fontaines à schnaps

Je ne sais pas vous, mais octobre est l’un de mes mois préférés. La chaleur de l’été a définitivement cédé la place à la douceur automnale et le paysage se transforme au fil des jours. Si en plus le soleil et le ciel bleu sont au rendez-vous, c’est un mélange parfait pour partir en vadrouille.

Aujourd’hui, on vous emmène de l’autre côté du Rhin, à Sasbachwalden, un village typique de la Forêt Noire. D’avril à octobre, les fontaines qui jalonnent les sentiers sont remplies de bouteilles de schnaps ou liqueurs.

Comment ça marche ? Vous trouverez, à côté de chaque fontaine, une petite caisse. Payez et servez-vous ! L’idée n’est bien évidemment pas de finir la marche à quatre pattes, mais de déguster ces spécialités locales tout en profitant des paysages. Alors si cette idée vous tente, prévoyez de la monnaie, les prix varient entre 1 € et 2 €. 

Concernant la cache

Le parcours de cette multi se fait à l’envers du sentier officiel. Vous pouvez vous garer au parking indiqué, il est suffisamment grand, mais il se remplit vite quand il fait beau. 

Après la première fontaine qui se trouve dans le village, on prend de la hauteur en suivant le sentier qui grimpe dans les vignes.

Au fil de la promenade, le paysage offre de beaux points de vue et quelques caches traditionnelles supplémentaires. Avant la fin de votre balade, faites un crochet par les cascades de Gäisholle, vous ne le regretterez pas. 

Infos pratiques

Code de la cache : GC2NDWQ

Autres caches que vous pouvez faire :

  • Schätze am Wegesrand – Sasbachwalden GC1F8KR
  • « Damenschenkel » GC2YKG3
  • Der schwarze Pfaff GC3PMT5
  • Alde Gott GC14PAD
  • Eierlikör GC98PQ6 (Premium)
  • Honiglikör GC98PT5 (Premium)
  • Kirschwasser GC98Q0G (Premium)
  • Gaishölle GC136ND